maandag 3 maart 2008

Weiland, Wieland: waalse wanhoop (1815)

dinsdag 29 januari 2008


Aangezien het onderling verstaan bij onze zuiderburen nog steeds niet best loopt, een anecdote uit 1815. Dat is het jaar waarin ‘België’ en ‘Nederland’ sinds kort verenigd zijn, en waarin de regering poogt de ‘landtaal’ (het Nederlands) te bevorderen in het gebruik. De franstaligen wordt aangeraden daartoe de grammatica van Petrus Weiland te benutten.

De zuidelijke Observateur politique, administratif, historique et littéraire de la Belgique is hier niet al te dol op. In 1815 (dl. III, p. 368) wordt aan de hand van een Weiland-bestelling door een welwillende, beschreven welke (eeuwige?) misverstanden het gevolg zijn:

‘Il est de fait que, dans cette patrie du royaume, il n’y a, ni grammaire, ni syntaxe, ni aucun ouvrage élémentaire de quelqu’étendue, qui soit appropriée à l’enseignement du hollandais; dans les provinces septentrionales, ces ouvrages existent, mais il faut croire qu’ils éprouvent quelques difficultés à percer la ligne toujours subsistante de nos domaines, tant ils sont rares! - Quelqu’un avait recommandé Weiland à je ne sais quelle dame qui veut pousser ses enfans dans les pages, et même, s’ils parvenaient à savoir le hollandais, dans le futurs échevinages; il alla voir cette dame, il y a quelques jours. - ‘Je l’ai fait venir votre Weiland, dit elle; mais, mon Dieu! c’est toute une caisse.’
C’étaient en effet dix ou douze volumes de l’auteur d’Aristippe et de Musarion qu’on lui avait adressés!’

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